Aujourd'hui, je vous propose un poème en alexandrins, vers de douze syllabes, intitulé Dragons célestes. Je participe à un petit défi par Lili du blog Larmes de Soleil, que vous pouvez retrouver dans cet article.
Je dois avouer que ça n'est pas très facile d'écrire un poème de cette manière ! Mais j'ai essayé... ;)

Dragon fantasy avec une fille elfe

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Dragons célestes

Oh que donnerais-je pour voir tous ces dragons !
Les écailles serties d'or sur leur dos marron
Volant au vent, gueule ouverte en crachant des flammes
Libérant en un seul instant des torrents d'âmes.

Ils ondulent comme des serpents des nuages
Leurs ailes battant l'air pur et froid des hauteurs
Dragons aimés et craints, vous mes dragons rêveurs
Que puis-je faire pour vous rendre un bel hommage ?

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Nymeria

Que pensez-vous de ce poème ? Je vous invite à participer au défi 😃



Son

Une musique
Envoûtement
Telle un chuchotis
Dans le vent.

Horloges vintages rétro_horloge vintage_vieux réveil
Un symbole du temps
Un heureux moment
Qui malheureusement se presse
Et le bonheur fuyant
Part à toute vitesse.

Je crois que les lecteurs français (voire ceux d'autres nationalités) se divisent en deux catégories : les pro-nothomb et les anti-nothomb (non, ce n'est pas le nom d'un insecticide !). Vous me direz que c'est logique, soit on aime ses écrits, soit on ne les aime pas. Mais ! - Car il y a un mais - dans son cas, soit on adore, soit on haït bon là j'exagère un peu... ce qu'elle écrit.

Robert des noms propres amélie nothomb subtilite du palimpseste



Paris au XIXème siècle 19e siècle champs élysées faubourgs paris rue

Un soir de novembre, je fus témoin d’un évènement pour le moins étrange.


Je flânais dans les rues de la capitale. Les messieurs avec redingote et monocle, les dames habillées de belles tenues de soie rose, les vendeurs de journaux du soir et les pickpockets se bousculaient dans les rues piétonnes du premier arrondissement.

Une nouvelle saison arrive bientôt, et je voulais vous parler de 7 choses que j'aime faire en été.

Coquelicots champs de fleurs

Ce livre de 460 pages, écrit par Marie Pavlenko, est un bijou. Vraiment.

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Je suis ton soleil Marie Pavlenko livre


Déborah démarre son année de terminale sans une paire de chaussures, rapport à Isidore le chien-clochard qui s'acharne à les dévorer. Mais ce n'est pas le pire, non.
Le pire, est-ce sa mère qui se met à découper frénétiquement des magazines ou son père au bras d'une inconnue aux longs cheveux bouclés ?
Le bac est en ligne de mire, et il va falloir de l'aide, des amis, du courage et beaucoup d'humour à Déborah pour percer les nuages, comme un soleil.

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Cela fait trois fois que je le lis et à chaque fois les mêmes émotions merveilleuses, le même bonheur, les rires aux larmes toute seule (à part ça tout va bien). Quand je le lis, je suis Déborah.
Ce roman s'est fait une place bien à l'abri dans mon cœur. Je voudrais le relire encore et encore et encore.

Petit texte pour souligner l'ironie qu'est le moment de se lever et de se coucher ;) (J'ai écrit au féminin par choix.)   

Réveil vintage - Les réveils, ou la vérité sur le moment de se réveiller. Rétro vieux ancien
Les réveils


Quelquefois on est motivée. On sort du lit d'un bond, la tête pleine de projets et de mots ailés. On regarde le ciel gris-souris avec optimisme, au moins il ne pleut pas.

Le manteau écarlate brodé de fils noirs, elle s'avançait, telle une beauté funeste. Le khôl qui bordait ses yeux faisait ressortir la lueur vive de ses prunelles, rouges comme son habit. Il ne le savait pas encore, mais la femme était dangereusement dangereuse. Il ne le savait pas encore, mais il l'apprendrait à ses dépens.

mélisandre game of thrones melisandre


crépuscule photo mystère forêt


Odeur d'été
Ciel s'assombrissant
C'est le crépuscule.

Tadaaaaam ! Premier article sur Subtilité du Palimpseste.

Ave, chers lecteurs ! Si vous lisez ces mots moins de dix jours après la date de parution de cet article, c'est que vous avec l'honneur d'être les premiers à consulter mon tout nouveau tout premier blog. Et si vous venez après, je ne vous le pardonnerai jamais. Enfin si, peut-être. En fait, je vous pardonnerai à coup sûr, car cela voudrait dire que vous accordez un peu (beaucoup ?) d'attention à Subtilité du Palimpseste.